« Est-ce que ma vie me convient ? »
Cette question concerne à peu près tout le monde à un moment ou à un autre de la vie.
C’est une question importante à laquelle il faut prendre le temps de réfléchir avant d’apporter des réponses concrètes.
Elle dit quelque chose de nous… De là où nous en sommes à un instant donné, entre le passé et l’avenir.
A l’origine de ce questionnement sur soi, il y a le plus souvent, une prise de conscience. Quelque chose ne nous satisfait pas ou ne nous satisfait plus. Cela peut concerner un peu tous les de notre vie : travail, couple, famille, amis, etc…
Dans un premier temps, la prise de conscience est souvent douloureuse. Mais progressivement, elle peut devenir un moteur positif de changement. Elle nous permet prendre du recul. On peut enfin penser à soi et à son bien être.
Dans une perspective constructive, ce questionnement permet d’avancer et de se remettre en question pour être plus en adéquation avec ce que l’on veut pour soi.
Pour ce faire, il est important de cerner certains paramètres :
- Ses envies
- Ses désirs
- Les projets qu’on a envie de réaliser
- Les freins qu’on se met
Le dernier point de la liste est important. Nous avons tous des pensées limitantes. Elles constituent des blocages qui nous empêchent d’avancer.
Mais ce n’est pas irrémédiable.
Nommer et prendre conscience des émotions négatives qui y sont associées, c’est la première étape qui va nous permettre de :
- Les contourner
- Les évacuer
- Les transformer en quelque chose de positif
Le but de tout est surtout de nous amener à nous sentir à notre place.
On sent qu’on est à sa place quand on se sent plus à l’aise dans ce que l’on fait que ce soit dans son travail ou dans sa vie privée.
On sent que les choses deviennent plus fluides, plus souples, que l’on comprend mieux ses réactions et les réactions des autres.
En parlant des autres, il est essentiel de comprendre qu’ils ont aussi une place dans le questionnement.
Le but de se recentrer sur soi et ce que l’on veut, c’est de nous amener à cesser de se comparer aux autres et de vouloir correspondre à une norme. C’est ce qui nous autorise à mener des actions pour se sentir mieux aussi petites soient-elles.
Si le malaise que vous ressentez est lourd, une aide extérieure peut vous aider a avancer.
Quelque soit la force du questionnement et du malaise potentiel, il est essentiel de comprendre que le fait de se poser ces questions est déjà une première étape vers un mieux être.